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Un peu d'histoire...

14 mars 2013, Riad du Petit prince

 

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C'est quatre ans plus plus tard, lors de leur premier séjour à Marrakech, qu'Yves Saint Laurent et son compagnon Pierre Bergé découvrent le site. A la fois séduits par ce lieu où « les couleurs de Matisse se mêlent à celles de la nature » (P. BERGE, Yves Saint Laurent, Une passion marocaine, La Martinière, 2010) et désireux de le sauver d'un projet hôtelier, les deux hommes décident d'en faire l'acquisition. En 1980, ils en sont pleinement propriétaires. L'atelier Majorelle change de nom et devient la Villa Oasis.

 

 A la mort de son conjoint, Bergé fait don du site à sa fondation. Le jardin ouvre alors ses portes au public. Désormais et depuis 2011, la Villa Oasis, labellisée « Maison des Illustres », abrite le musée berbère.

« Ce jardin est une tâche terrible, à laquelle je me donne tout entier. Il me prendra mes dernières années et je tomberai épuisé sous ses branches, après lui avoir donné tout mon amour. » 

J. MAJORELLE: www.jardinmajorelle.com/histoire-du-jardin-majorelle/

 

Victime d'un grave accident de voiture, l'artiste est rapatrié d'urgence à Paris où il finit par s'éteindre en 1962. Son précieux jardin est alors laissé à l'abandon.

 

En 1922, le peintre français Jacques Majorelle s'installe dans la Médina de Marrakech, alors sous protectorat français. Très vite, il acquiert une palmeraie au nord-ouest de la ville pour y établir son atelier. C'est l'architecte Paul Sinoir qui est chargé de la construction. Inspiré par Le Corbusier, ce dernier fait de l'atelier Majorelle un compromis entre le style mauresque et la modernité. Durant près de 40 ans, le peintre compose son jardin à la manière d'un tableau vivant. Ses nombreux voyages lui permettent de ramener différentes variétés de plantes. Voici d'ailleurs ce qu'il en dit :

 

L'autre jour je suis allée visiter le jardin Majorelle. Sacrée histoire, ce jardin ! Voici ce qu'on en dit : 

Pour en savoir plus, vous pouvez consulter : 

Le jardin Majorelle à ses débuts, vue aérienne

                   

L'atelier de Jacques Majorelle vers 1931

                      Source 

Un peu d'histoire... - Amélia Forestier
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